Mon Premier Voyage De Femme « Libre »… 20° Partie

Sortie dans la rue, je me dirigeais vers le métro quand j’entendis une voiture klaxonner. C’était Yves. C’était du harcèlement. Il ne voulait pas lâcher le morceau ! Mais il ne travaille pas ?

Yves s’arrêta et vint me prendre la main pour me faire monter dans sa voiture. Au passage, il glissa sa main sous ma robe pour me palper les fesses le coquin. S’il voulait vérifier que je n’avais pas mis de culotte, il était servi.

Une fois dans sa voiture, je lui répétais que je n’avais pas beaucoup de temps car j’avais des choses à faire pour ma dernière journée. Je lui expliquais que je devais notamment faire un tour dans un magasin de meubles originaux que je tenais absolument visiter et qui se trouvait près du Chatelet. Je souhaitais renouveler le mobilier de notre salon et si les photos que j’avais vues sur internet étaient prometteuses, je tenais absolument à les voir avant de les commander.

« Pas de soucis ma belle. Je t’emmène. Cela nous permettra de passer un dernier petit moment ensemble. »

Par sa conduite souple, aidée par la boite automatique, il se permettait de me caresser les cuisses et ma vulve, sans vergogne.

Il m’avoua que Paul lui avait parlé d’une histoire avec une voiture, une Mini. Il voulait savoir. Il voulait que je lui raconte ce que Paul avait déjà dû lui dire à demi-mots. Je ne savais pas jusqu’où je pouvais me confier. J’avais peur qu’Yves s’excite… Mon amant ne se satisfaisait pas de ce que lui disait. Il voulait encore et encore des détails. Je voyais son pantalon qui se déformait au fur et à mesure que je détaillais mon aventure au garage.
Simultanément, ses doigts m’endiablaient le clitoris. J’étais trempée.

Nous étions proches du Chatelet, quand Yves s’engouffra dans une descente de parking pour garer sa voiture. Il trouva une place isolée et une fois garé, il se rapprocha de moi pour m’embrasser et me caresser les seins dont les tétons étaient déjà bien durs.



Il sortit du véhicule et fit le tour de celui-ci pour venir de mon côté. Il me demanda de descendre, et tandis que je pensais remonter à la surface, Yves ne l’entendait pas ainsi. Il me retourna contre la portière fermée et me prit, là, debout. La pénétration soudaine et puissante de son sexe épais me fit crier. Quelle brute ! Excité de me baiser, là dans le parking, il me bourra de quelques va et vient avant de jouir. Son plaisir rapide était quelque chose de nouveau pour moi. Habituellement, il prenait son temps pour me donner le maximum de plaisir. Il se retira penaud, tout en s’excusant de l’absence de maîtrise de son éjaculation qu’il justifiait par l’état d’excitation dans lequel il était par ma faute.
J’étais frustrée, mais, en même temps, fière d’avoir vaincu aussi rapidement mon amant.

Yves me prit la main pour sortir du parking.

Une fois à l’extérieur, je me sentais bien au bras d’Yves. Je me laissais conduire. Quelques pas plus tard, je fis remarquer à Yves, que, comme à son habitude, il avait lâché des litres de sperme et que je sentais des coulures descendre le long de mes cuisses…. Nous en rimes sans retenue.

Arrivés au magasin, nous nous promenèrent au milieu des meubles mis en scène. Soudain, Yves eut une idée. Il me demanda de m’asseoir dans un fauteuil exotique, genre Emmanuelle, et d’écarter les cuisses pour qu’il fasse une photo avec mes coulées. Il fallait faire vite car nous n’étions pas seuls. Pour le taquiner, je recueillis, avec mes doigts, un peu de sperme sur ma cuisse, pour le déguster…. Yves me mitrailla tout excité.

Enfin, je vis les petits meubles qui m’intéressaient. Yves alla chercher un vendeur pour régler les détails concernant le prix et la livraison. Il réussit à arracher trente pour cent de remise. Quelle performance ! J’étais épatée !
Il faut dire, que pour accompagner son argumentation, je n’hésitais pas à me baisser et à m’accroupir autour des meubles pour distraire le vendeur très intéressé par l’absence de culotte…

Une fois l’affaire réglée, nous sortîmes pour partir à la recherche d’un petit bistro pour manger un petit quelque chose.
Il était un peu plus de quatorze heures et je commençais à avoir faim.

Alors que nous attendions nos plats, Yves envoya les photos à Paul. De mon côté, j’envoyais également un message à mon mari pour lui parler de mon achat.

Une fois notre repas terminé, il fallut nous résoudre à nous quitter. Yves m’embrassa passionnément comme il sait le faire, avec une langue très intrusive et enjôleuse. Mes jambes flageolaient. Je savais que nous nous reverrions bientôt. À Paris, Montpellier ou ailleurs. Yves est un homme plein de surprises et de ressources.

Avant de retourner chercher les achats que j’avais laissés de côté pour Paul, j’avais envie de flâner un peu sur les quais de la Seine et de trainer chez les bouquinistes par nostalgie.

Je sentais encore le sperme d’Yves couler sur mes cuisses. Quelle sensation… Hummm…

Mais, le temps passait, il fallait que je retourne dans la rue de Rivoli pour m’acheter quelques affaires avant de repartir. Il me restait encore un peu d’argent sur les cinq cents euros que m’avaient laissés Jeff et Antoine.

Je commençais par le magasin pour homme.
A peine rentrée, le directeur me vit et se précipita pour m’accueillir.
« Bonjour Éva. Vous êtes revenue chercher vos achats ? »

Avant d’attendre ma réponse, il ajouta :
« Avez-vous pensé à autre chose ? »

Perdue dans mes pensées et à ce que me disait ce beau brun, je bafouillais :
« Oui. »
« Non. »
« En fait, avant de repartir, j’aurais quelques achats à faire, mais pour moi cette fois. »
« Que recherchez-vous ? Quel est votre budget ? »
« J’ai un peu plus de deux cents euros. J’aimerais trouver une robe en soie rouge, ainsi qu’un chemisier en soie également, de couleur crème. »
« Vous savez où je peux trouver ces vêtements et si j’aurais les moyens de me les payer ? »

L’homme me prend la main.

« Venez avec moi. Je pense que vous allez trouver tout ce que vous voulez dans la boutique qui se trouve un peu plus loin.
Pour le budget, je vais faire pour le mieux. La responsable est une amie. Elle s’appelle Noëlle. »
Tandis que nous marchions sur le trottoir, je pris conscience que je ne connaissais pas le prénom de mon coquin.
« Dites, c’est un peu bête, mais je ne connais pas votre prénom. »
« Vous avez raison Éva, quel goujat je fais. Je m’appelle Gabriel. »
« Voilà. Nous y sommes. »

Le magasin était superbement décoré et les vêtements magnifiques. Gabriel avait raison, je trouverai ment quelque chose ici.

Une femme d’une quarantaine d’année, brune, les cheveux coupés courts, vint à notre rencontre. Elle embrassa Gabriel qui me présenta. Noëlle, m’embrassa également.

« Noëlle, je te présente Éva. C’est une amie chère qui vient du sud. Elle aimerait s’acheter des petites affaires. Je te la laisse entre les mains. Je suis sûre que tu sauras bien t’en occuper et, surtout, tu lui fais ton meilleur prix. »

Je me sentis rougir.

Gabriel repartit. Noëlle me prit par la taille.

« Éva, que recherchez-vous ? »

Je lui répétai ce que j’avais dit à Gabriel.

« Éva, faites-moi confiance. Je vais vous trouver quelque chose qui vous plaira sans aucun doute. Je vous laisse faire un petit tour. On se retrouve près des salons d’essayage. Je vous amène un café. »

Le magasin était luxueux. Il y avait peu de produits, mais que de la qualité. Je n’osais pas regarder les étiquettes…

Je faisais totalement confiance à Noëlle. Elle me paraissait si dynamique et il dégageait d’elle un charme troublant. Son regard, ses yeux verts, étaient pétillants.

« Éva, je vous ai placé quelques pièces dans le salon numéro 1. C’est le plus confortable. Nos cafés sont servis. Je vous rejoins de suite. »

Tandis que je m’approchais de la cabine, je pris conscience que j’étais nue sous ma robe. Comment allais-je pouvoir essayer les vêtements si Noëlle restait près de moi ?

Je n’eus pas le temps d’hésiter.
Noëlle me prit la taille et m’entraina dans le salon et referma la porte derrière nous.
Je n’avais jamais vu de cabine d’essayage aussi confortable et luxueuse. Un grand miroir, deux petits fauteuils crapaud et une table basse, sur laquelle se trouvaient nos cafés, composaient ce salon.

Quelques vêtements étaient accrochés à un portant.

« Éva, asseyez-vous. Pendant que nous prenons notre café, vous allez pouvoir me parler un peu de vous. Cela me permettra éventuellement de compléter la sélection que j’ai déjà faite. »

Voilà comment, je me retrouvais à parler, comme je pourrais le faire avec une amie. Je fis un résumé très édulcoré des motifs de mon escapade parisienne.

Noëlle était très sympathique. Nos sièges étaient proches. Noëlle accompagnait ses paroles de gestes attentionnés et chaleureux. Sa main me touchait mon bras, parfois ma cuisse, pour marquer son étonnement ou pour accen ses propos.

Les cafés étaient bus depuis un petit moment déjà et il était temps de procéder aux essayages que je redoutais…
« Éva, vous avez trois robes en soie sur le portant. Elles sont unies. Une classique, noire, une seconde saumon et la troisième, rouge. Cette dernière est une robe chemise. Je pense que c’est celle qui vous ira le mieux. »

« On y va ? »

« Oui » bafouillais-je, en me levant.

« Je vais vous aider »

Noëlle s’approcha de moi et m’aida à me déshabiller. Elle ne sembla pas surprise de me trouver nue. Elle semblait hypnotisée par mon corps. J’étais rouge de confusion.

« Vous êtes très jolie Éva. Je vois que vous ne portez pas de sous-vêtements. Je vous imagine comme une femme « libre ». Est-ce que je me trompe ? »

« Merci Noëlle. Vous êtes trop gentille. Vous avez bien vu. J’essaie effectivement de trouver ma voie et, pour cela, de tenter de sortir des ornières de l’éducation stricte que j’ai reçue et dans lesquelles j’étais toujours enfermée. Je dois vous avouer que cette semaine parisienne m’a apportée beaucoup de satisfactions et de plaisirs »

« Nous allons d’abord essayer la noire. »

Noëlle m’aida à l’enfiler. Ses mains étaient douces, chaleureuses et caressantes. J’en avais des frissons. Les pointes de mes seins devenaient dures. J’étais gênée car Noëlle ne pouvait pas ne pas le remarquer. La soie était tendue au niveau de ma poitrine et mes tétons pointaient.

Noëlle s’appliqua à tendre la robe. Ses gestes étaient légers. Ses mains me caressaient furtivement les seins. Elle jouait avec mes sens. J’étais tétanisée. Mes jambes flageolaient. Noëlle s’amusait de mon émoi.

« Quand penses-tu ? » me dit-elle en passant au tutoiement.

« Elle est magnifique. La soie est incomparable. Mon corps semble flotter à l’intérieur. »

« Passons à la suivante. La coupe est identique. Tu as la taille mannequin. »

Cette fois, lors de l’échange des vêtements, les caresses se firent plus précises, sur les fesses et à l’intérieur des cuisses. L’ajustement du vêtement était prétexte à tous les attouchements. Noëlle savait y faire. Mon corps était en feu. Et pourtant, ce n’étaient que des affleurements, bien, très bien dosés. Je dus m’appuyer un moment sur le mur. Un sourire canaille illumina le visage de Noëlle.

« On continue ? » murmura Noëlle à mon oreille, d’un air badin.

« Oui, encore » bafouillais-je.

« Maintenant la plus belle pour toi. J’en suis sûre. »

Noëlle déboutonna la robe rouge pour que je puisse l’endosser. Elle m’aida à passer les bras. Ses doigts jouèrent avec mes seins. J’haletais. Ma vulve était trempée. Jamais une femme n’avait joué comme cela avec moi.

Je ne bougeais plus. Je laissais Noëlle faire, comme si j’étais une poupée, sa poupée.

Le reboutonnage fut plus long. Les caresses plus précises. Noëlle s’accroupit pour fermer les boutons du bas. Ses doigts flirtaient librement avec ma vulve, et taquinaient furtivement mon clito. Instinctivement, je me sentis basculer mon bassin en avant pour accen les pressions de Noëlle.

Effectivement, Noëlle avait raison. Cette robe était sublime. Le rouge m’allait à merveille. Je m’imaginais appliquer mon rouge à lèvres Chanel n°62 pour peaufiner l’ensemble.

Noëlle se releva et se plaça derrière moi pour m’observer dans le miroir. Son corps était plaqué contre moi. Je pouvais sentir les pointes de ses seins. Ses mains se posèrent sur mes bras nus et me caressèrent pendant que nous nous observions dans le reflet du miroir.

« Qu’en penses-tu ? » me chuchota-t-elle. Tu es magnifique.

« Tu verras comme elle est agréable à porter. Les boutons jouent un rôle essentiel dans les jeux de séduction des femmes. Selon tu humeur, tu en ouvres un ou deux en bas pour montrer plus ou moins tes cuisses et jouer avec les caprices du vent. » Ce qu’elle fit pour accompagner son argumentation.

« Tu peux également ouvrir des boutons en haut pour dégager ta poitrine qui ne mérite pas d’être enfermée. » Là, Noëlle, déboutonna totalement le haut de la robe qui n’était plus fermée que par un ou deux boutons.

Elle prit mes seins en mains et m’embrassa dans le cou. Je n’osais pas bouger. Ma bouche était sèche. Je fermais les yeux. Noëlle continua à prendre possession de mon corps. Ses doigts attrapèrent mon clitoris qui explosa. Une jouissance inhabituelle, que seule une femme pouvait me donner. Je me laissais faire. Noëlle me retourna et m’embrassa. Un baiser de femme. Un baiser différent, plus tendre, plus mouillé, plus aérien. Ses mains me caressaient les fesses et ses doigts s’insinuaient impudiquement. Je me cambrais et m’ouvrais pour jouir de tous les plaisirs nouveaux qui s’offraient à moi. J’étais comme une poupée entre les mains diaboliques de Noëlle.

Puis, me voyant hésitante, Noëlle me chuchota à l’oreille « Laisse-moi t’aimer. »

« Je te sens un peu empruntée. Pour aimer une femme, tu dois mettre de côté ton logiciel homme - femme. Pense à ce qui te fait du bien, à ce que tu aimes te faire quand tu te caresses seule. Tu me sens faire et tu me fais la même chose avec ta touche personnelle. »

Noëlle me prit la main et la posa sur son sein. Elle prit l’autre qu’elle appuya sur son clitoris. Un clitoris énorme, de la taille d’un petit sexe d’homme. Je m’y retrouvais !!!!

Je me laissais tomber sur le fauteuil et Noëlle vint appuyer sa vulve contre ma bouche. Je glissais deux doigts dans son vagin et gobai son clitoris. Je jouais avec lui avec ma langue. Je l’aspirais, le suçais et soufflais dessus. Noëlle semblait apprécier. Je continuais.

Après quelques coups de langue, Noëlle m’attrapa la tête pour accen la pression de ma bouche sur son clitoris et elle se cambra dans une jouissance insensée. Elle secouait ma tête pour faire monter son plaisir davantage, puis elle me pissa dessus. Enfin, c’est ce que je crus, mais j’appris par la suite qu’elle était une femme fontaine et que dans le cas de grosses jouissances, cela lui arrivait.

Noëlle me releva et m’embrassa. Elle me lécha le visage mouillé. Nous nous regardâmes et nous nous mîmes à rire comme deux collégiennes. C’était trop délicieux.

Noëlle m’enleva délicatement la robe et m’annonça que dans l’état où elle était, elle devenait invendable. Soit elle la jetait, soit je partais avec.

Je n’hésitais pas à la garder !!!!

Quant au chemisier. Je l’essayais et l’adoptais.

Nous nous rhabillâmes et sortirent du salon toutes rouges.

Je payais. Je remerciais chaleureusement Noëlle qui me laissa son 06.
Nous nous fîmes la bise et je sortis pour retourner à la boutique homme.

J’avais les jambes qui tremblaient encore, toujours chamboulée par ce qui venait de se passer.

Quand j’arrivais au magasin de Gabriel, celui-ci était occupé. En attendant, je fis le tour de la surface de vente pour voir si je pouvais trouver quelque chose pour Paul. Il me restait encore de l’argent de Jeff et Antoine. Noëlle m’avait fait un super prix. Je n’oserais jamais l’avouer.

J’optais pour un joli pull en cashmere noir. J’imaginais très bien mon Paul avec.

Gabriel était dispo. Je payais le pull avec, encore une fois, un super prix.

Gabriel me prit le bras pour m’amener à son bureau. Il fallait que je récupère mes achats précédents.

« Alors, ma chère Éva. As-tu été bien conseillée par Noëlle ? Je vois que tu as un sac plein. »

J’ai dû rougir en lui répondant.

« Oui Gabriel. Ton amie est charmante. Nous avons rapidement sympathisé et ses choix ont été justes. Les vêtements sont très beaux. Je ne pense pas oublier de sitôt la séance d’essayage… De plus, elle m’a fait un super prix ! Merci pour ton aide. »

« J’en suis ravi ! Assieds-toi là, le temps que je te préparer un café. »

Je parlais de ma vie à Montpellier. Gabriel me raconta qu’il avait fait ses études à Montpellier et qu’il avait beaucoup apprécié la ville et son ambiance méditerranéenne très festive. Il envisageait de descendre prochainement à l’occasion du pont de la pentecôte. Tout naturellement, je lui proposais de passer à la maison, seul ou accompagné et que nous l’hébergerions avec grand plaisir.

Quand je me levais pour partir, Gabriel me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement. Moi, qui venais à peine de revenir sur terre, voilà mon amant qui ne me laissait pas de répit.

« Ne pars pas si vite. J’ai envie de toi. »

Il me fit reculer vers son bureau où il m’allongea. Gabriel prit son temps pour me caresser et me lécher la vulve d’où un mélange de sperme et de mes secrétions intimes devait encore s’écouler. Sa langue agile, fouineuse, impudique et puissante m’enivrait. Je gémissais sous ses caresses.

Gabriel se releva, m’embrassa pour partager nos salives, puis se redressa, défit son pantalon et me pénétra d’un coup et totalement. Ses couilles touchaient mes fesses. J’adorais cette sensation d’être possédée. Une sensation différente qu’avec Noëlle, mais tellement forte. Avec Noëlle, nous étions dans une relation d’égalité. Avec Gabriel, je me sens soumise à sa queue et aux envies de mon amant.

Celui-ci ressort son sexe pour caresser mon clito avec son gland trempé. Les mouvements qu’il impose à mon bouton me font grimper. Il relève un peu davantage mes jambes qui reposent maintenant sur ses épaules.
La position, impudique et érotique, m’excite encore davantage. Je me crispe, je me tends pour un orgasme libérateur.

Satisfait, Gabriel revient dans mon vagin pour me remplir à nouveau. Son sexe va et vient. Je perds pied. Ma tête ballote de droite à gauche. C’est trop bon. Mon corps entier est un sexe béant, ouvert au pal de mon amant. Un nouvel orgasme me transperça. J’étais trempée. Je repensais à « l’éjaculation » de Noëlle.

Satisfait, Gabriel retira sa queue pour positionner son gland à l’entrée de mon anus qui l’accueillit sans difficulté. Mon amant, prit son temps. Il ressortit pour revenir dans mon vagin afin de lubrifier à nouveau son sexe avant de revenir dans mon cul. Il recommença deux ou trois fois, puis il enchaîna ses va et vient puissants. Il me cassait le cul le salaud. Je me branlais le clitoris afin d’accen le plaisir de la sodomie. Je gémissais, je criais mon plaisir et me contractais à nouveau pour une jouissance différente, mais aussi forte que la précédente.

Ma contraction associée à ma jouissance eut pour effet de déclencher l’éjaculation de mon amant. Je sentis ses jets puissants m’inonder les entrailles.
Gabriel, satisfait, et épuisé s’allongea sur moi, son sexe toujours dans mes fesses. Je le vis sourire et vint m’embrasser tendrement.

« Merci mon Éva pour le plaisir que tu viens de me donner »

Puis, il sortit délicatement de mon anus, attrapa une poignée de mouchoirs pour s’essuyer et me fit passer la boite que je fisse de même.

Je me redressais, tant bien que mal, me rhabillais.
Au moment de partir, je me retournais pour embrasser Gabriel.

« Merci mon Gabi pour le plaisir que tu viens de me donner. Voici mon 06. À très vite à Montpellier. »

En sortant du magasin, j’eus juste le temps d’apercevoir un taxi à l’approche. Il était libre. Je montais. Je rentrais à l’appartement. Quelle journée.

Pris dans les embouteillages, j’eus le temps de consulter mes messages. J’en avais une dizaine : Jeff, Paul, Yves, Gabriel et Claudia.

Je leur répondis à tous. Je pris davantage de temps avec Paul. Je lui racontais quelques bribes de mon après-midi avec les quelques photos que j’avais pu prendre. Il avait reçu celles d’Yves qui l’avaient bien excité. Je lui confirmais mon départ demain matin.

Arrivée en bas de chez moi, j’achetais deux, trois petites choses chez le traiteur avant de monter.

Une fois dans l’appartement, je jetais robe et chaussures pour prendre une bonne douche réparatrice.

Une fois essuyée, je fis réchauffer mon plat cuisiné et flânais nue sur le balcon, un verre de vin blanc à la main. Alain, mon voyeur, était en place. Il me fit signe. Je lui répondis. C’était le moment de manger. J’étais bien, mais épuisée.

Je ne traînais pas. Je rangerai demain matin avant de partir.
Je réglais le réveil à cinq heures quinze et me couchais.

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